Vous l’avez entendu, n’est-ce pas? Il vous a peut-être même réveillé ce matin? Je n’y faisais plus vraiment attention, mais aujourd’hui, allez savoir pourquoi, son chant a empli le silence de l’aube naissante. Je veux parler du coq. Celui de votre poulailler ou de votre voisin. Il est vrai que ces derniers jours, avec la circulation moins dense, on redécouvre le chant des oiseaux, petits ou grands, sauvages ou domestiques. C’est un régal pour les oreilles.
Mais, pourquoi vous parler de coq à Pâques?